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Transcription du podcast 

LA FOLLE THÉORIE

 

Épisode 10

Le langage du temps

ressenti 5D

0. Teaser : Goût du risque

Est-ce que les intuitions sont possibles physiquement parlant ? Et les sentiments, est-ce que c’est des phénomènes électro-magnétiques ? Est-ce qu’il existe un équivalent abstrait aux  phénomènes physiques énergétiques ? Le conditionnel et le subjonctif sont-ils des modes de conjugaison qui correspondent aux phénomènes de superposition d'états, d'interférence et d'indéterminisme de la physique quantique ? Bienvenue dans le monde des phénomènes à cinq dimensions, où les questions pourraient avoir plusieurs réponses indéterminées et superposées ! Faut-il donc être complètement fou pour se risquer à établir des correspondances entre la physique et le langage ! Et bien là dessus, il n'y a plus aucun doute… Vous écoutez bien La Folle Théorie !

 

Introduction

Bonjour ! Ici Alexandra Folie, bienvenue dans l'épisode 10 qui s'intitule "Le langage du temps ressenti 5D" ! Comme d'habitude, Je vous invite à visiter notre site Internet pour bénéficier des tableaux et d'illustrations tout en écoutant le podcast. J’en profite pour ouvrir une parenthèse, parce que j’ai parlé avec des personnes pour qui c’était pas clair. Quand je dis : "allez sur le site Internet lafolletheorie.com" (ici-même) c’est littéralement allez sur le site web, l'adresse c'est La Folle Théorie point com. C'est pas les pages de la Folle Théorie sur les réseaux sociaux Facebook, X-Twitter, ou Instagram. D'ailleurs ça fait un bout de temps que je n'ai rien posté sur ces plateformes là, parce que je manque un petit peu de temps pour ça. Donc une fois sur le site web lafolletheorie.com (ici-même), dans le menu vous cliquez sur "TRANSCRIPTIONS" et là vous allez trouver les versions écrites de chaque épisode. Donc en plus d’écouter les épisodes, vous pouvez les lire, et au gré de la lecture vous trouverez les tableaux et les illustrations qui correspondent au contenu.

 

Dans l'épisode précédent on a commencé l'étude sémantique des phénomènes à cinq dimensions. On a vu que les phénomènes physiques à cinq dimensions c'est de l'énergie, et que l'énergie c'est ce qui met les particules en interaction, donc c'est ce qui met les choses en relation dans le cosmos et qui génère des possibilités d'événements. Étant donné que les possibilités ce sont les multiples chemins que la réalité peut prendre en fonction des échanges d'énergie, il faut plusieurs lignes pour représenter le cours probable des événements, et donc dans notre analyse des structures sémantiques, l'énergie comporte deux dimensions temporelles.

 

Dans cet épisode-ci, on va pousser l'analyse sémantique plus loin, on va voir les différentes facettes de ce temps là de potentialités, et comment à travers le langage on perçoit les relations et les énergies. En toute fin, on va venir établir les correspondances des phénomènes 5D dans différents domaines.

 

1 - Probabilité conditionnelle

1. Probabilité conditionnelle

Le premier ordre de phénomènes 5D, c'est la probabilité. La probabilité c'est la quantité de possibilité que quelque chose se produise à partir d'une situation. Dans les épisodes sur les phénomènes à quatre dimensions, on a vu qu'une situation c'est un ensemble d'états formés par des forces 4D. Donc la valeur 1D d'une situation 4D ça nous donne une probabilité et c'est bien 5D. C'est comme pour la durée 1D d'une force 4D qui se traduit en énergie 5D. Pour que quelque chose se produise, c'est-à-dire pour que des forces engendrent des actions, il faut que des entités soient mises en relation par une circulation d'énergie. OK, Donc la probabilité elle correspond à la mesure des chemins que l'énergie pourrait emprunter.

 

 

Pour parler d'événements qui sont probables, on conjugue les verbes au mode conditionnel, comme dans "ça se ferait" ou bien "ça serait". Et on peut exprimer la même chose avec des formules comme "peut-être que ça se fait" ou encore "c'est faisable".

 

Vous ne le saviez probablement pas, mais vous êtes donc tout à fait capables de percevoir et de parler de choses qui ont cinq dimensions, et vous le faites sans vous en rendre compte. D'ailleurs quand je dis que "vous êtes capables" ça aussi c'est un phénomène à cinq dimensions, parce que ça signifie que vous POURRIEZ le faire et que vous en avez la capacité. S'il y a une possibilité c'est qu'il y a une probabilité, et s’il y a une probabilité, et bien c’est souvent aussi qu'il y a une capacité.

2 - Capacité qualifiante

2. Capacité qualifiante

 

La probabilité et la capacité, ce sont deux structures légèrement différentes dans le champ du possible. Une probabilité c'est une situation qui pourrait évoluer comme ci ou comme ça. Et le changement potentiel est interne à la situation. Alors que quand on parle d'une capacité et bien on parle du potentiel de quelqu'un ou de quelque chose qui pourrait produire un changement avec une portée externe, c'est-à-dire hors de soi et dans différentes situations. Donc pour le dire autrement, la capacité c'est ce que quelqu'un ou quelque chose POURRAIT PRODUIRE, et la probabilité c'est ce qui pourrait SE PRODUIRE.

 

La capacité, elle réside aussi dans la qualité qui permet à quelque chose d'agir d’une certaine façon. Cette qualité d'agir là, c'est ce qui est opérant quand une entité agit. On dit alors que c'est une propriété. Par exemple, un objet capable de voler, et bien on peut dire que c'est un objet volant et même quand il n'est pas en train de voler, et bien sa capacité de voler, ça reste une propriété existante quand même. Donc l'adjectif verbal "volant" exprime une capacité de voler. La capacité, c'est une surface d'action, c'est l'étendue de ce que quelqu'un ou quelque chose est en mesure de faire, on peut aussi parler de qualification hein, et donc c'est un petit peu comme la  qualité apparente dans 2D d'espace, mais c'est une qualité d'action, une qualité opératoire, une qualité dynamique, alors on parle de propriété.

 

Je vous donne un exemple : un objet en trois dimensions qui est très chaud, et bien on perçoit sa chaleur en surface, c'est une qualité perceptible dans deux dimensions d'espace. Et si on le touche, donc on parle d'un événement conditionnel, à deux dimensions de temps, cet objet là peut nous brûler et le brûlant c'est une capacité de l'objet, qui a la propriété brûlante. Cette propriété là, le brûlant, et bien c'est une qualité d'action dans deux dimensions de temps qui est liée à un objet à trois dimensions et ça fait cinq dimensions en tout.

 

 

Rendus ici, je suis obligée de faire une petite parenthèse… Dans l'épisode huit on a vu que le suffixe "eur" dans un substantif, ça correspond plutôt au statut, comme un acteur, ou un réalisateur. Et on a vu que le suffixe "ant" dans un substantif ça correspond plutôt à l'état, comme un actant ou un percevant. Mais dans cet épisode là je vous parlais du substantif 4D et ici je vous ressors le suffixe "ant" mais avec des phénomènes 5D. 

Alors alors ! Si on parle d'une entité qui FAIT réellement des choses, comme un amant qui aime, un percevant qui perçoit, un passant qui passe, un vivant qui vit ou même un mourant qui meurt, alors c'est un phénomène 4D, c'est une quantité d'action. Et si on parle d'une qualité qui POURRAIT faire, comme le brûlant, l'amusant, un excitant, un calmant, alors c'est une propriété 5D. C'est une qualité d'action. Et parfois il y a des glissements dans l'usage des mots qui font que la qualité d'action 5D sert finalement  à désigner un statut 4D. Par exemple l'enseignant c'est une qualité d'action, mais dans la pratique ça devient un statut, donc une profession. On aurait donc pu dire "enseigneur" au lieu d'enseignant, mais ça ne sonne pas très bien hein. Les nuances sont floues et c'est des subtilités de langage, mais tout ça c'est lié à la capacité et donc à la qualité d'action.

 

Alors vous voyez qu'en plus de la conjugaison au conditionnel comme dans "il ferait" ou bien dans "il comprendrait", et bien il existe des substantifs qui prennent souvent la forme d'adjectifs verbaux pour exprimer la capacité et la possibilité. Comme par exemple, quand on parle de possibilité, on dit c'est "faisable", c’est "aimable", c’est "identifiable", ou encore c’est "réalisable". Et puis quand on parle de capacité : on dit que c'est "faisant", que c’est "aimant", que c’est "identifiant" et que c’est "réalisant". Ces substantifs là à cinq dimensions, et bien c'est des ADJECTIFS VERBAUX parce qu'ils expriment des propriétés, des QUALITÉS temporelles à réaliser des actions.

3 - Subjonctif appréciatif

3. Subjonctif appréciatif

 

Mais revenons aux formes conjuguées. En plus du conditionnel qui exprime des possibilités comme par exemple "s'il le voulait il le FERAIT", il y a aussi le mode subjonctif, et là c'est un tout petit peu plus subtil. On prend le verbe "faire" comme exemple OK, parce qu’il est très générique et quand on le conjugue au subjonctif ça donne la forme "que ça se fasse". Et vous allez voir que cette forme là peut avoir plusieurs sens.

 

Par exemple, si je dis "IL SE PEUT qu'il le fasse", et bien c’est une probabilité. Même quand je dis "Il est impossible qu'il le fasse", OK c'est une improbabilité, mais ça demeure une probabilité, c’est juste qu’elle est de valeur nulle.

 

Je peux aussi dire "IL FAUT qu'il le fasse" et là "IL FAUT" il ne s'agit pas d'une valeur de probabilité mais il s'agit d'une valeur de nécessité. Ça, ce que ça signifie, c’est que j'attribue subjectivement et extérieurement une importance à la réalisation d'un événement hypothétique. La probabilité, c'est la valeur plutôt temporelle du possible, c'est la mesure de la possibilité d'une réalisation, c'est une densité du temps. Alors que la nécessité, c'est la valeur plutôt spatiale du possible, c'est la mesure de l'importance de la réalisation d'un événement.

 

Et je peux aussi dire "j'aimerais que quelqu'un d'autre le fasse", et là j’exprime un désir. Là vous comprenez bien que la valeur que j'attribue à l'événement c'est une appréciation subjective et extérieure. Et enfin, si je dis "et bien que quelqu'un d'autre le fasse !" alors j'exprime une volonté ou un vœux, c'est un désir qui est si fort que ça devient presque un ordre 4D (note écrite : c'est une injonction).

 

Vous voyez ! Le subjonctif, ça concerne des relations avec les possibilités, ou les impossibilités. C'est une valeur généralement subjective, c'est l'appréciation de l'importance des événements, plutôt que juste leur valeur de faisabilité.

 

4 - Sentiments et intuitions

4. Sentiments et intuitions

Alors tous ces mots là : Possibilité, probabilité, capacité, potentiel, ferait, faisable, faisant, que ça se fasse…  Ça désigne des valeurs de ce qui pourrait se produire. On peut voir ça comme des énergies qui sont disponibles quand les forces ne s'exercent pas, ou alors comme des énergies qui se déploient quand les forces s'exercent.

 

Et dans le domaine physique, ces énergies-là et bien on peut les percevoir indirectement quand on observe des corps à travers leur mouvement, leur vélocité ou même leur posture. Par exemple, quand je regarde la photo de quelqu'un qui est manifestement en déséquilibre et bien je comprends qu'il était en mouvement au moment où la photo a été prise. Donc l'aspect physique des corps, ça donne une indication de l'énergie en circulation.


 

 

Mais l'étude du langage nous indique qu'il existe d'autres façons de percevoir l'énergie… Qu'est ce qu'on dit quand on perçoit une probabilité ? Et bien on va avoir tendance à dire "j'ai le sentiment que ça pourrait se produire", ou bien encore "j'ai l'intuition que ça va arriver". Donc, quand on perçoit directement une possibilité, on a un sentiment, ou on a une intuition. Une intuition c'est un sentiment qui peut être parfois tellement net, que c'est presque une certitude ! 

Alors les sentiments c'est le support des perceptions de potentiels, donc d'énergie. Et quand vous avez une intuition, vous la ressentez de la même façon que vous ressentez une émotion. Souvenez vous que les particules qui constituent les énergies, comme par exemple les photons et les électrons, et bien ce sont les mêmes qui nous permettent de percevoir et d'avoir des sensations et des émotions. Donc vous pouvez ressentir que quelqu'un d'autre a un sentiment. Cette perception empathique là se produirait notamment à travers ce qu'on appelle les neurones miroir en neurosciences.

5 - Émotions 2D, sentiments 5D

5. Émotions 2D, sentiments 5D

Dans l'épisode cinq qui s'intitule "le langage de l'espace 2D", on a fait l'étude sémantique de l'univers des émotions. En fait, dans un sentiment, il y a une composante émotionnelle 2D. C'est évident que tout comme une émotion, un sentiment c'est quelque chose que l'on ressent et qui nous fait vibrer. Mais dans notre étude des structures sémantiques, c'est important de distinguer les deux. Un sentiment, c'est la combinaison d'une émotion 2D avec une projection dans le temps.

Par exemple quand vous avez une intuition, c'est que vous percevez une forte probabilité dans l'espace-temps. Et bien les sentiments d'attachement à des êtres, des objets ou même à des idées, ça aussi c'est des émotions qui sont projetées dans le temps.

 

Un sentiment c'est pas juste une émotion spontanée dans le moment présent. Quand vous aimez ou quand vous détestez quelqu'un, c'est parce que vous vous souvenez d'expériences passées ou que vous percevez des possibilités futures, ou les deux en général. Donc, que ce soit dans le passé ou dans le futur, vous vous projetez émotionnellement dans le temps.

 

Les émotions 2D, c’est des ressentis clairement réceptifs où les enjeux sont concentrés dans le moment présent. L'enfant, lui, pleure parce qu'il est tombé et la minute d'après il est joyeux parce qu'on lui offre une crème glacée. C’est aussi simple que ça…. C’est des émotions, c’est pas des sentiments.

Allez, je vous donne un autre exemple pour distinguer émotions 2D et sentiment 5D. Vous savez, ce qu'on appelle couramment le "coup de foudre" et bien c'est une émotion forte dans l'instant présent. Cette émotion intense là marque le début de sentiments qui eux, comportent une projection dans une relation et donc dans le temps.

6 - Énergie et psychisme

6. Énergie et psychisme

Alors les sentiments, est-ce que ça serait une affaire d'énergie ? Et bien, c'est clairement ce que nous dit l'analyse sémantique, parce que ce sont les mêmes structures dimensionnelles. L’énergie c'est non seulement ce qui nous permet de percevoir le monde extérieur par stimuli et qui nous met en relation avec lui, mais l'énergie c'est aussi très vraisemblablement ce qui constitue la perception intérieurement. Alors si la perception c'est de l'énergie, ça paraît plutôt logique qu'on puisse percevoir les énergies de façon directe via des ressentis, et pas seulement de façon indirecte, comme par l’observation de la matière extérieure.

Et ces deux choses là, d'une part la perception des faits apparents par nos sens physiques et d'autre part la perception psychique directe des énergies, et bien les deux sont entremêlés et ce n'est pas facile de faire la part des choses dans nos perceptions entre ce qui vient des énergies ressenties et ce qui vient des faits concrets qui sont perçus par sensations, donc finalement traduits aussi en énergie. 

 

Par exemple, quelqu'un peut vous caresser de la façon la plus douce qui soit, mais ça peut être désagréable parce que vous ressentez énergétiquement un sentiment opposé, voire une intention négative. Ce genre de sentiment là, ce sont des perceptions subtiles qui ne sont pas du domaine factuel. On peut avoir des sentiments très forts, sans aucune explication rationnelle liée à des faits concrets. Quand on parle de l'énergie d'une personne, ou même de l'énergie d'un lieu, on parle du ressenti psychologique et vous voyez bien ce que nous dit l'analyse sémantique : le domaine psychique C'EST une affaire d'énergie.

Maintenant si on revient au domaine physique, étant donné que l'énergie, et bien c'est un phénomène à cinq dimensions, elle se manifeste dans le monde matériel à quatre dimensions, mais elle englobe et dépasse cet univers concret là qui est le nôtre. Et comme la 5D c'est un monde indéterministe, et bien c'est un univers bien plus complexe, subtil et intangible que le monde factuel 4D. Alors ce n'est pas étonnant que la physique quantique soit sujette à de nombreuses interprétations en rapport avec le psychisme et le pouvoir de l'esprit ! 

7 - Évaluations sémantiques

7. Évaluations sémantiques

Voyons maintenant les correspondances des phénomènes à cinq dimensions entre les différents domaines de la perception : c'est-à-dire physique, psychologique et abstrait. Et vous allez voir là qu'on commence à faire de l'analyse sémantique dans le sens inverse, c'est-à-dire du psychique vers le physique. 

 

On a vu que de façon générale, l'énergie dans le domaine physique ça correspond aux relations dans le domaine abstrait…

Pour notre analyse sémantique à cinq dimensions on est partis des phénomènes physiques qu'on peut décomposer en 1D par 4D, tels que la durée 1D des forces 4D, et ça, une force qui s'exerce pendant un certain temps, ça s'exprime en énergie. Et si on traduit ça dans le domaine abstrait, ça correspond à la variation 1D des états ou des situations 4D. La variation des situations ce sont des probabilités et des possibilités qui occasionnent des enjeux. Les enjeux, c'est la quantité d'énergie qui est mise "en-jeu", c'est-à-dire en circulation dans une situation. Là soyez sans crainte, si votre intuition demeure brouillée, tout ça est illustré sur le site lafolletheorie.com (ici-même), alors je vous invite à y jeter un coup d'œil !

Dans des termes un petit peu plus adaptés au domaine psychologique, pour évoquer une probabilité, on parle de la tournure d'une situation. Pour évoquer des possibilités ou des probabilités de comportements, on parle d'inclination ou de tendance et les enjeux psychologiques ça correspond aux intérêts d'une personne. Donc :

probabilité - tournure,

possibilité - tendance,

enjeux - intérêts. 

 

Et comme il est question d'énergie, et bien l'électricité c’est un domaine où le vocabulaire permet de bien faire le lien entre les domaines physique et psychique. L'hypothèse de la Folle Théorie, c'est qu'en électricité, les enjeux ça correspond à la charge électrique. Et la possibilité elle, elle se traduit en conduction et en résistance électriques ! C'est vrai que si une activité électrique est possible dans un circuit, et bien c'est qu'il y a une conduction d'électricité. Et si elle est difficile voire impossible, c'est qu'il y a une résistance. 

 

 

Quant à la capacité elle, elle porte le même nom en électricité que dans le domaine abstrait. La propriété aussi c'est un mot qui est transversal et qui peut donc être utilisé pour désigner les qualités d'action tout autant d'objets physiques que d'entités abstraites comme en mathématiques. La capacité ça correspond aux ressources, c'est la quantité d'énergie entrante et sortante, c'est-à-dire à la fois la possibilité d'action et la possibilité de résultat d'une entité. En termes plus psychologiques donc, on va parler de pouvoir et d'influence. Tout ça c'était pour le premier ordre de phénomènes 5D, avec une composante QUANTITATIVE, des VALEURS 1D des activités 4D.

 

8. Vibrations transversales

Le second ordre de phénomènes 5D, c'est les sentiments, qui ont une composante QUALITATIVE et qui sont des SENSATIONS 2D d'entités 3D. Les sentiments sont vraisemblablement le support de la perception de l'énergie et les sentiments sont aussi de l'énergie en soi, ils sont à la fois le contenu et le contenant perceptif 5D. 

 

Et à quoi correspondent les sentiments dans le domaine physique ? Et bien les sentiments correspondent probablement aux phénomènes de rayonnement et de radiation et peut-être même de flamme voire de combustion, qui sont des phénomènes énergétiques. Par exemple, quand on est amoureux on dit qu'on a une flamme, on brûle pour quelqu'un. D'ailleurs, ça, ça correspondrait bien au fait que les sentiments sont des vibrations projetées dans un temps de probabilités. Après tout, tous les objets physiques émettent des rayonnements, et c'est aussi le cas de nos corps, ils émettent de l'énergie qui est d'ailleurs visible dans le spectre de l'infrarouge. 


 

Quant à l'activité de notre système nerveux, elle est aussi  constituée de vibrations, sous la forme de stimuli électro-magnétiques. Ces correspondances là entre l'activité psychique et l'énergie physique et bien elles sont le cœur même des neurosciences. Et ces rayonnements là dans nos corps varient notamment en fonction des émotions. On peut aussi dire aussi que ce sont des impressions, c'est-à-dire littéralement "des pressions à l'intérieur", donc des vibrations au sein d'une entité. 


Cette énergie rayonnante là qui provient des corps, si à l'IN-térieur elle produit des sentiments et des IM…pressions, et bien à l'EX-térieur elle forme ce qu'on appelle une aura. Le mot aura désigne l’émanation du caractère de quelqu'un. Quand on parle d'aura, on parle alors du magnétisme ou du charisme, c'est-à-dire des vibrations de l'être, ou bien des EXpressions…


 

 


Quand cette énergie de rayonnement là elle est émise par un ensemble d'entités rassemblées dans un lieu, on parle alors "d’atmosphère", ou "d’ambiance". L’atmosphère et l’ambiance c'est simplement les rayonnements qui forment l'énergie environnante.

 

 

Dans un vocabulaire plus abstrait, tous ces phénomènes là du domaine des ressentis sont des appréciations des aspects temporels. Les appréciations c'est des évaluations par approximation, sur la base de probabilités, de valeurs incertaines. 

Souvenez vous dans l'épisode 5 on avait parlé des sensations 2D qui se manifestent dans la perception sous la forme de QUALIA, les qualia qui sont la manifestation des qualités spatiales dans la représentation perceptive.

 

Et bien il existe une sensation particulière parce qu'elle n'est pas spatiale, et cette sensation là c'est la sensation du temps qui passe plus ou moins vite. Quand on y pense bien, et bien cette sensation là du temps qui passe c'est une densité de temps. Et cette densité là, elle dépend du contenu de l'expérience perceptive, donc de l'état du percevant. Autrement dit, la sensation du temps qui passe, c'est le percevant qui se ressent lui-même en train de percevoir plus ou moins vite. Donc il s'agit de deux dimensions de temps, parce que le percevant perçoit l'intensité de sa propre continuité temporelle, il y a donc une sensation 2D de son être 3D, et alors on peut parler du… du conscient ! La 5D qualitative, celle des impressions, c'est le domaine du conscient.

 

Maintenant voyons les correspondances de l'intuition… Dans un vocabulaire moins psychologique et plus abstrait, l'intuition et bien ça pourrait se nommer une présomption, ou une induction. Et dans le domaine physique et bien j'ai l'intuition que l'intuition correspond au phénomène d'interférence quantique ! On sait que les équations de la physique quantique peuvent théoriquement fonctionner indifféremment du futur vers le passé ou du passé vers le futur et donc dans les formules quantiques rien n'indique que le temps est unidirectionnel. 

 

8 - Vibrations transversales
9 - Récapitulatif analyse 1D-5D

9. Récapitulatif analyse 1D-5D

Alors ! C’est maintenant le temps de faire un petit résumé de l’épisode. En partant des phénomènes physiques, on a induit que les ensembles à cinq dimensions sont des phénomènes de possibilités. Ensuite, en faisant l'analyse sémantique du champ des possibilités dans le langage, on a identifié que les phénomènes physiques énergétiques à cinq dimensions correspondent dans le domaine abstrait aux probabilités, aux ressources, aux enjeux, aux capacités, aux impressions et aux expressions. Et finalement dans le domaine psychologique ces énergies là correspondent aux phénomènes d'inclination, de sentiments et d'intuitions, de désirs, d'intérêts, de pouvoir, de charisme, et d'ambiance.

Et voilà ! C’est tout pour cet épisode-ci, on se retrouve bientôt dans le onzième épisode entièrement consacré aux phénomènes 6D. Comme ça on va boucler la boucle avec trois dimensions d'espace et trois dimensions de temps, et on aura fait le tour du cosmos physique. Ce bagage là des dix premiers épisodes, il est essentiel pour nous permettre enfin d’approcher nos croyances et nos différentes façons de discerner le monde ! Et j’ai extrêmement hâte d’en arriver enfin là avec vous ! Vous ne savez pas comment ! Merci d’avoir passé les dix premiers épisodes qui étaient plus ou moins faciles.

Et avant de se quitter, n’oubliez pas d’aller jeter un coup d’oeil sur le site Internet lafolletheorie.com (ici-même) pour voir les correspondances sémantiques dans des tableaux que vous aurez tout le temps d'étudier dans tous les sens. Dans des tableaux, dans des visuels ça vaut mille mots ! Bonne journée à vous !

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