
L'information constitue des portées d'espace-temps 1D qui forment des fonctions 6D par intrication

L'information constitue des portées d'espace-temps 1D qui forment des fonctions 6D par intrication
Transcription du podcast
LA FOLLE THÉORIE
Épisode 18
Le système du VRAI,
le mental, l'information
0. Teaser : Vraiment humain
Savez vous que le nom de certains peuples signifie "les vrais humains" ou "les vrais gens" dans leur propre langage ? C'est le cas des Maoris, des Anishinaabé, des Innus et des Roms, pour donner des exemples. Mais au regard des connaissances actuelles en biologie, et bien c'est une tendance qui apparaît un petit peu biaisée qu'un peuple se croie plus humain que les autres hein ? Parce que la génétique en particulier, elle nous a permis d'établir clairement ce qui définit une espèce et donc la nôtre en particulier.
Mais au delà des gènes qu'est ce qui définit la nature humaine fondamentalement ? Et bien on peut peut-être y répondre par l'intermédiaire d'une autre question : Qu'est ce qui différencie l'être humain des autres animaux ? Ou disons au moins de la plupart des autres animaux ?
Et bien le sens d'être humain, celui qui fait qu'un individu est considéré comme une personne à part entière, et bien ce n'est pas juste une affaire de gènes, c'est aussi une affaire de conscience et la conscience ça c'est une toute autre affaire… Bien que récemment cette distinction là de "personne" entre guillemets, a été reconnue à d'autres espèces, notamment en Inde par la cour du Punjab, vous allez trouver un lien sur le sujet dans la transcription de l'épisode (ci-après).
Indian High Court Recognizes Nonhuman Animals As Legal Entities
Avancées juridiques sur les droits des animaux
La conscience c'est un terme qui peut avoir plusieurs sens dont certains ne sont pas définis, mais ici on parle de la conscience réflexive, c'est-à-dire de la capacité à s'abstraire de soi-même par la pensée, de questionner nos intentions et par là d'accéder à la perception de la morale, à la perception de la valeur en général et de la vertu, en particulier.
Toutes ces notions là : la conscience, la connaissance, la définition, l’identité, la vérité, la morale et la valeur, et bien elles sont au cœur du troisième et dernier grand système de pensée élémentaire, celui dont je vais vous parler dans cet épisode !
1. Intro : Pour information
Bonjour, c'est moi, la seule, la vraie Alexandra Folie. Et bien sûr, j’en profite de ne pas être célèbre pour clamer mon authenticité ! Bienvenue dans l'épisode dix-huit de La Folle Théorie, qui pour votre information s'intitule "Le système du VRAI, le mental, l'information".
Les systèmes de pensée, ça peut être assez dense comme contenu, alors faites un tour sur le site Internet lafolletheorie.com (ici-même) pour lire la transcription de l'épisode, et bénéficier du contenu visuel qui renforce la version, les tableaux en particulier, les codes couleurs et les symboles relatifs aux différentes intelligences de discernement.
Après vous avoir présenté les deux premiers grands systèmes de pensée : le BON et le BEAU, je vais vous parler maintenant de la troisième "couleur primaire" de la pensée, et ce qui est spécial, c'est que comme c'est celle qui correspond au mental, et bien c'est celle-là qui permet de penser les systèmes !
Gardez bien à l'esprit que pour l'instant on ne fait pas encore dans la nuance. L'idée c'est de décrire chaque système de pensée élémentaire, comme les couleurs primaires, c’est-à-dire dans ce qu'il y a de fondamental, avant d’analyser nos fresques de couleurs là, à la Da Vinci !
Donc allons-y pour le système de pensée du VRAI ! On va se rappeler dans un premier temps les phénomènes qui le composent et je vais développer le genre de valeurs et de logique que ça implique et les croyances spirituelles et politiques qui en découlent !!
2. Le sens et la mesure
On a vu précédemment qu'un système, et bien c'est un ensemble à sept dimensions. On a vu que pour percevoir les systèmes, il faut articuler des discernements réceptifs spatiaux avec des discernements proactifs temporels, en combinant des perceptions directes de phénomènes de une à six dimensions.

Le tout est différent de la somme de ses parties

Chaque nombre de dimensions correspond à une structure de l'espace-temps, à une logique de compréhension, qui mène à discerner un certain type de phénomènes.

Le langage rend compte de la dimensionnalité des phénomènes par inclination des mots.

Le tout est différent de la somme de ses parties
On obtient comme ça des discernements complexes indirects à sept dimensions, qui constituent des fictions cognitives. Et il y a trois grandes façons de faire ça, qui correspondent à trois voies logiques, trois échelles de perception, trois centres de discernement, trois systèmes de pensée élémentaires, comme les trois couleurs primaires.




Les couleurs primaires c’est des couleurs qui ne peuvent pas être reproduites par un mélange d’autres couleurs, et ce sont justement celles qui peuvent servir de bases pour créer les autres nuances. Et donc là nous on fait un peu pareil que pour les couleurs, mais avec des systèmes de pensée.
Dans les deux épisodes précédents on a vu le système du BON qui articule la 3D et la 4D pour constituer la logique de l'échelle des corps, et on a vu le système du BEAU qui articule la 2D et la 5D pour constituer la logique à l'échelle des vibrations. Là on en arrive maintenant à la troisième possibilité. C'est l'articulation de la 1D et de la 6D.

À l'échelle abstraite des quanta, 1D x 6D = 7D

À l'échelle abstraite des quanta, 1D x 6D = 7D
Si jamais vous voulez vous rafraîchir la mémoire, vous pouvez plonger dans l'analyse sémantique des phénomènes à une dimension dans l'épisode quatre.






Une dimension, dans le domaine physique, et bien si c'est de l'espace, alors ça donne des phénomènes de distances, si c'est du temps, c’est des durées, et si c’est de l'espace-temps, et bien c’est des vitesses. Tout ça, la 1D, finalement c'est des grandeurs physiques, et on a vu que ça correspond au champ sémantique de la quantité. C'est comme quand je dis il y a "un peu" ou "beaucoup" de quelque chose, ou que c'est "très" comme ci ou "peu" comme ça.
Dans le domaine psychologique, la quantité ça s'exprime en terme d'intensité. Par exemple une émotion peut être peu ou très intense, on peut aussi dire peu ou très forte, et c’est pareil pour l’intensité d’un caractère ou d'un comportement.
Et dans le domaine abstrait, pour parler des quantités, et bien on emploie le mot "valeur". Par exemple les nombres sont des valeurs qu'on attribue à des quantités mathématiques. Et un autre exemple, et bien on attribue des valeurs morales à des principes.
Quand la valeur elle est spatiale on parle d'importance, quand elle est temporelle on parle d'occurrence et quand elle est spatio-temporelle il s'agit de phénomènes d'urgence.
Maintenant, en termes grammaticaux, la quantité elle s'exprime au moyen de nombres comme un, deux ou trois ; d'adverbes comme peu et beaucoup ; de préfixes devant un mot comme dans IR-RÉEL ou SUR-RÉEL ; de prépositions comme À, EN, DANS, ICI, LÀ, et de conjonctions comme AVANT, APRÈS, et PENDANT.
La perception des phénomènes de quantité, c'est les mesures qu'on fait des choses, c'est des constats, et donc l'intelligence quantitative 1D, c'est une approche de l'information qui est réceptive.
L'approche inverse de l'information qui est proactive et dynamique, et bien ça c'est la 6D. Alors là pour ceux qui connaissent déjà la 6D je vais faire court, et pour les autres si vous voulez mieux comprendre c'est quoi la 6D, vous pouvez écouter les épisodes onze et douze.
Refaisons un tour rapide de comment on parvient à six dimensions dans la perception.

1D quantités, 2D qualités, 3D entités

1D quantités, 2D qualités, 3D entités
1D
Une dimension c'est la perception des valeurs, des quantités.
2D
Deux dimensions c'est des valeurs de valeurs et ça ça donne des fréquences, ça donne des vibrations, et dans la perception ça c'est des qualités.
3D
Maintenant trois dimensions c'est des valeurs de qualités qui forment la perception des entités, des choses, des êtres, des objets.

Une voiture qui roule c'est un objet à trois dimensions qui se déplace. Et ce déplacement là c'est une activité observable sur une ligne de temps linéaire, c'est-à-dire à une dimension de temps. Et dans cette ligne de temps, il y a des segments de temps où la voiture roule, d'autres où elle ne roule pas. Pour qu'un objet se déplace ou se transforme, il faut lui appliquer une force et bien c’est ça la 4D.

Une voiture qui roule c'est un objet à trois dimensions qui se déplace. Et ce déplacement là c'est une activité observable sur une ligne de temps linéaire, c'est-à-dire à une dimension de temps. Et dans cette ligne de temps, il y a des segments de temps où la voiture roule, d'autres où elle ne roule pas. Pour qu'un objet se déplace ou se transforme, il faut lui appliquer une force et bien c’est ça la 4D.
4D
Quatre dimensions, c'est la valeur temporelle des entités, donc c'est comment des objets 3D évoluent dans un temps linéaire 1D, et ça ça donne la perception des activités et des forces.

Avec la même énergie, on peut décider aussi d'exercer différentes forces et pas juste une seule, par exemple on peut faire rouler la voiture en avant ou en arrière donc, l'énergie forme donc des potentiels de forces, c'est-à-dire des possibilités. Et ces possibilités là et bien on peut les exprimer en probabilités.

Avec la même énergie, on peut décider aussi d'exercer différentes forces et pas juste une seule, par exemple on peut faire rouler la voiture en avant ou en arrière donc, l'énergie forme donc des potentiels de forces, c'est-à-dire des possibilités. Et ces possibilités là et bien on peut les exprimer en probabilités.
5D
Cinq dimensions, c'est la durée 1D des forces 4D ou leur probabilité, et ça s'exprime en terme d'énergie. L'énergie, c'est la possibilité des activités, et ça donne la perception des relations.

La vocation de rouler qui est associée à la voiture, elle existe même quand il n'y a aucune possibilité qu'elle roule.

La vocation de rouler qui est associée à la voiture, elle existe même quand il n'y a aucune possibilité qu'elle roule.
6D
Alors maintenant six dimensions ! Et bien la 6D, c'est la perception de la valeur d'ensemble de circuits de relations. Et ça, ça forme des volumes d'activité qu'on décrit en termes de fonctions !

Les fonctions 6D sont des discernements d'ensembles (circuits) de valeurs 1D de relations 5D.

Les fonctions 6D sont des discernements d'ensembles (circuits) de valeurs 1D de relations 5D.
Donc la 6D c'est des fonctions, et ça correspond bien à l'aspect dynamique de l'information. Et la fonction c'est la base qu'on trouve dans tout un tas d'autres phénomènes à six dimensions.






Le processus, la technique, les mécanismes, les appareils, les machines, l'utilité, la vertu, la vocation, la raison, le jugement, le sens, l'explication, le concept, le principe, la règle, la loi, la morale, la définition, l'identité, et la représentation. Tout ces mots là, ils désignent des phénomènes qui ont des caractéristiques fonctionnelles.

la perception 7D, ça peut être la perception de la valeur 1D des phénomènes 6D

la perception 7D, ça peut être la perception de la valeur 1D des phénomènes 6D
Donc pour arriver au troisième grand système de pensée à sept dimensions, qui correspond à la réalité abstraite, c’est-à-dire à l'univers de l’information, on combine de la 1D, des valeurs, et de la 6D, des fonctions. Alors ça donne des choses comme valeur 1D des représentations 6D, ou bien valeur des principes, ou encore valeur de la raison, ou carrément valeur des réalités. Et oui, la valeur des réalités, parce que la réalité c'est le concept de ce qui est réel, c'est une représentation. Autrement dit, 1D par 6D c'est la voie par laquelle on peut considérer un système en tant que produit d'un système de pensée.
3. Vocabulaire perceptif VRAI
Quand on perçoit le monde en 1D et en 6D, et bien physiquement on est à l'échelle abstraite de l'information, et psychiquement c'est ce qui se produit par la pensée et donc on est dans le mental.
Percevoir le monde à l'échelle de l'information, c'est prendre la mesure des choses, c'est relever comment elles sont structurées, c'est collecter des données, et puis ensuite c'est raisonner pour déduire de ces structures là des concepts qui expliquent comment elles fonctionnent.


L'articulation des discernements des valeurs 1D et des principes 6D se retrouve d'ailleurs dans les équations. Par exemple, une formule mathématique brute, c'est un principe opératoire qui explique et qui constitue un fonctionnement. Et les chiffres qu'on entre dans l'équation et ceux qui en sortent, et bien ce sont… des valeurs. Donc d'un coté il y a la mesure, il y a la donnée, le savoir, et de l'autre coté il y a l'explication, la compréhension. Et les deux combinés, (c’est-à-dire les données plus l’explication), et bien ça forme la connaissance.


Maintenant, à l'échelle abstraite de l'information, les notions de positif et de négatif, elles sont considérées en rapport avec le domaine rationnel à la fois dans l'aspect cognitif et dans l'aspect moral. Et donc le positif et le négatif sont exprimés dans les champs lexicaux du juste et de l'injuste. En passant, avez vous déjà remarqué qu'en français l'adjectif "juste" a un double sens ? "Juste", ça peut correspondre d'une part à la justesse qui est la notion d'exactitude et d'autre part à la justice. La justice, qui est la notion d'équité. Et JUSTEMENT ! C'est bien dans la perception de la justesse que peut se produire celle de la justice ! Parce que dans les deux cas, justice et justesse, et bien c'est une affaire de juste mesure.

Les notions de positif et de négatif au sein du système du VRAI sont articulés autour des critères de la justesse et de la justice.

Les notions de positif et de négatif au sein du système du VRAI sont articulés autour des critères de la justesse et de la justice.
Alors alors ! Justesse et justice, et bien ça donne les contraires exact et inexact, précis et approximatif, cohérent et absurde, objectif et subjectif, authentique et contrefait, légitime et arbitraire, réel et fictif, ou encore vérité et mensonge. C'est pourquoi ce système de discernement là qui combine 1D avec 6D, on l'a appelé le VRAI, et il inclut logiquement aussi son contraire, le FAUX.


La plupart des enjeux dans le système de discernement du VRAI, c'est comme un aller-retour entre ce qu'on sait et ce qu'on comprend. D'abord on prend la mesure des choses, puis on élabore des principes logiques qui permettent de comprendre ces choses là et donc d’en générer du sens et de trouver une explication. Ensuite, on valide ou on invalide ces principes là en faisant de nouvelles observations, donc en prenant de nouvelles mesures, et si ces nouvelles mesures valident les explications, alors finalement on peut encore "PRENDRE DES MESURES", mais cette fois-ci au sens où on applique des décisions et où on fait fonctionner les règles. Vous voyez là un processus clairement rationnel qui dessine justement les fondements de la technique et de la méthode scientifique.
Alors si on faisait un peu le point sur le vocabulaire perceptif du VRAI maintenant. On a les mots : information, savoir, quantité, valeur, vecteur, importance, distance, durée, occurence, vitesse, intensité, urgence, grandeur, mesure, justesse. Alors là je viens de nommer le vocabulaire 1D. Et dans la 6D on a les mots intrication, implication, circuit, fonction, utilité, vertu, vocation, processus, raisonnement, jugement, technique, mécanisme, sens, signification, raison, explication, concept, principe, règle, loi, morale, conscience, caractéristique, machine, appareil, identité, définition, représentation, réalité, fiction, justice…

Un vocabulaire constitué des phénomènes 1D et 6D est largement ancré dans le domaine abstrait et mental de l'information.

Un vocabulaire constitué des phénomènes 1D et 6D est largement ancré dans le domaine abstrait et mental de l'information.
Tous ces mots là, ils servent à décrire ce qui est en commun à tous les systèmes de pensée en général. Par exemple si je prends les systèmes du BON et du BEAU, qu'on a décrit dans les deux épisodes précédents, et bien ils ont des VALEURS fondées sur leur REPRÉSENTATION de la réalité et ils ont donc une CONSCIENCE MORALE fondée sur leurs valeurs. Et on a vu que les phénomènes qui fondent les représentations du BON et du BEAU, et bien eux ils sont liés à l'instinct concret ou à l'émotionnel vibratoire.
4. Valeurs rationnelles
Avec le vocabulaire perceptif du VRAI, on est dans un système de pensée où les valeurs morales sont une affaire de rationalité, et ça c'est pas seulement en tant que moyen qui produit la perception commune de toutes les sortes de morale, mais aussi la finalité qui produit les motivations mêmes d'un type spécifique de morale.


Autrement dit, pour le VRAI, la raison qui motive la morale, et bien c'est la raison. Ou si vous préférez, pour le VRAI, la perception du sens de l'existence, c'est de percevoir du sens pour exister. Le plaisir du VRAI lui, c’est un plaisir intellectuel, c'est celui qui réside dans l'exploration et la compréhension, dans l'épiphanie qui se produit à travers la connaissance. Il aime à travers sa tête en quelque sorte. Et oui, pour le VRAI, ressentir le sens dans son esprit, chercher la vérité, c’est une forme d'amour en soi, et en plus ça mène à résoudre des problèmes, et à trouver des solutions.


La morale du VRAI, elle est construite autour de ce qui est perçu comme juste, d'abord en terme de justesse, puis en terme de justice. Il s'agit donc dans un premier temps de mesurer les choses, d'accumuler les connaissances sur l'univers et sur l'existence, pour établir des connaissances fiables sur lesquelles on va s'appuyer. Et dans un second temps, il s'agit de discerner les principes selon lesquels l'univers et l'existence fonctionnent, pour construire une morale appropriée.


Définir une morale, établir des droits et des devoirs

Développer des théories et des outils pour comprendre l'univers

Le centre de discernement du VRAI il est donc en quête… de vérité. Les valeurs du VRAI, elles sont basées sur la science au sens large, c'est-à-dire au sens de la connaissance reconnue comme fiable, la connaissance à laquelle on peut raisonnablement accorder le plus de crédit.
Au sein du système du VRAI, la vertu c'est de contribuer à la sagesse par le développement de la connaissance et de la raison, en questionnant un idéal moral qui prend en compte et qui dépasse même le savoir, la condition matérielle et les émotions.

Prendre du recul sur les problèmes



Prendre du recul sur les problèmes
5. Les lois de l'existence
Alors, voyons maintenant à quel type de croyances spirituelles ça mène ce centre de discernement là du VRAI. Je vous rappelle que par croyances spirituelles, j'entends par quelles voies on parvient à se représenter un ordre cosmique, qui englobe et qui explique l'existence du monde. Il s'agit donc de fiction cognitive, on crée une représentation qui est transcendante, c'est-à-dire qu'on attribue au monde une valeur subjective qui va au-delà de ce qu'on perçoit à travers nos sens.
Imaginez maintenant, que votre seul vocabulaire perceptif, c'est le vocabulaire du VRAI, donc de l'information. Percevoir dans le VRAI, c'est simplement tendre à croire que ce qui est réel c'est l'information à travers la mesure et les principes de fonctionnement des choses. En fait l'information, ça ramène à tous les nombres de dimensions. Par exemple je peux dire que la matière se déploie dans trois dimensions d'espace, et cette information là sur la matière, et bien c'est une donnée, c'est un phénomène à une dimension.
Le centre du VRAI, ça se base sur la connaissance fiable et donc sa croyance tend à être construite rationnellement. Mais ça, ça peut quand même beaucoup dépendre aussi de la culture. Comme par exemple, au Moyen-Âge en Occident, la connaissance reconnue comme fiable et bien c'était celle de la Bible, et donc explorer cette connaissance là à l'échelle de l'information, et bien ça consistait à étudier les textes sacrés pour en tirer la meilleure interprétation possible en termes de valeurs et de principes… Enfin… Pour ceux qui avaient la chance de savoir lire.
De nos jours, la connaissance reconnue comme fiable au niveau académique, elle réside dans ce qu'on appelle "LA" science. "LA" science, celle qu'on considère comme la plus fondamentale aujourd'hui, c'est la physique, et elle conditionne d'autres champs de science qui s'appuient dessus, comme l'astronomie, la chimie et la biologie.
Un autre exemple d'évolution de ce que c'est l'information fiable, c’est d’observer que la science physique elle a changé de paradigme il y a un siècle avec le développement de la théorie de la relativité et de la mécanique quantique et que ces théories là rompent avec la physique dite classique ou Newtonienne.
Vous voyez comment c’est intéressant, parce que depuis longtemps il y a des physiciens qui pensent que la nature fondamentale de l'univers, et bien c'est la matière, comme Isaac Newton ou Albert Einstein. Et plus récemment, il y en a d'autres qui se sont mis à penser que la nature fondamentale de l'univers, et bien c'est de l'énergie, comme (euh… Google, comment on prononce ?) Niels Bohr !!! Et bien aujourd'hui certains physiciens, comme… John Wheeler et Melvin Vopson… (Voilà !) Eux pensent que c'est peut-être l'information qui est la nature fondamentale de l'univers. S'il y a des physiciens qui pensent ça, c'est parce qu'à l'échelle quantique, l'information a des propriétés physiques qui ne peuvent pas être ignorées. Et aussi parce qu'on se rend compte que tout ce qu'on sait de l'univers et bien c'est à travers l'information qu'on en a, mais on ne sait pas si cette information là elle reflète le réel en définitive.
- Le principe holographique (article dans "Pour la Science")
- Le principe holographique (Wikipedia)
- L'information serait le cinquième état de la matière
- Article en anglais : "The basis of the universe may not be energy or matter but information"
Tu sais, dans le cas où l'information serait la substance même du réel, et bien l'univers serait comme un hologramme, une sorte de projection produite par du code, ou probablement le monde virtuel dans le film "Matrix". Ou bien l'univers serait généré par une séquence de chiffres qui serait la logique présente dans toutes les autres séquences, comme celle que cherche le héros mathématicien dans le film "Pi". "Pi", c'est le premier film du réalisateur Darren Aronofsky. Voilà ! un très bon film qui est sorti en 1998. Et ça, l'idée que la clé de l'univers est dans une suite mathématique, c'est tout à fait le genre de spiritualité produite par les phénomènes qui sont discernés par le centre du VRAI.

Interpréter le monde comme un énorme algorithme

Expliquer l'univers à travers les mathématiques.

Interpréter le monde comme un énorme algorithme
Le fondement de ce type de spiritualité là, qui est liée au centre du VRAI, c'est que l'univers fonctionne selon des lois, c'est-à-dire des règles et des principes, ou du code là, qui font fonctionner d'une part le monde physique et d'autre part l'esprit qui le perçoit. Et ces lois là, de l'univers, plus on les connaît en profondeur et plus leur valeur est grande. Par exemple la théorie de la relativité d'Einstein, elle englobe la physique classique de Newton, et comme elle est une connaissance plus fine et plus approfondie de la gravité, elle la remplace comme modèle d'explication le plus complet.
Et donc une théorie 6D qui expliquerait absolument tout, elle serait de valeur absolue 1D parce qu'il n'y aurait rien de plus profond, elle serait la connaissance la plus fiable, sur laquelle on pourrait baser toute notre philosophie et nos règles avec la certitude d'être justes. Et c'est pourquoi les physiciens cherchent à unifier la physique quantique avec la théorie de la relativité, pour avoir une théorie du tout.


Mais au siècle dernier, le logicien Kurt Gödel a bouleversé la communauté scientifique avec son théorème d'incomplétude, à propos des théories fondées sur des axiomes, c'est-à-dire sur des affirmations qui sont considérées comme vraies. Il a démontré que toute théorie est forcément soit incomplète, soit indémontrable. Alors l'ultime théorie qui expliquerait tout, et bien ça serait juste une chimère. Mais on peut toujours s'en approcher parce que ça vaut toujours la peine d'approfondir notre connaissance de l'univers. Si ça vous intéresse, je vous mets des liens à ce propos dans la transcription de l'épisode sur le site lafolletheorie.com (ici-même).
Les théorèmes d'incomplétude de Gödel (wikipédia)

Mathématicien et logicien

Mathématicien et logicien
Donc l'univers est perçu par le VRAI d'une façon très rationnelle, comme un énorme algorithme, une gigantesque équation qui obéirait à une logique de laquelle découlerait l'ultime Raison ou l’ultime Morale.
Comme les sciences physiques sont constamment requestionnées au gré des nouvelles découvertes, et bien les connaissances sont toujours susceptibles d'évoluer et les croyances du VRAI tendent donc à ne pas être définitives, et ça ça peut mener à l'agnosticisme, qui consiste à penser que le mystère de l'univers ne peut pas être percé.
6. La foi dans le doute
On l'a vu, le système de pensée du VRAI considère que l'univers fonctionne selon certaines règles et valeurs, et donc il convient de s'en approcher le plus près possible à la fois dans l'observation, la cognition et la compréhension. C'est la quête de savoir et de vérité qui anime le VRAI et le but de ça c'est de tendre vers plus de compréhension de la vie et de sens à donner à notre existence.
C'est pourquoi dans la continuité de cette logique rationnelle là, et bien le VRAI se préoccupe de créer du sens et des principes moraux à appliquer dans les différents domaines de l'existence, qui peuvent prendre la forme de codes, de règles ou de lois.
Donc d'un coté il y a les principes des valeurs, c'est-à-dire quelles règles doivent répondre à quels constats et de l'autre coté il y a la valeur des principes, c'est-à-dire dans quelle occurrence et avec quelle intensité on doit appliquer les règles.
Étant donné que le VRAI c'est le monde du mental, l'imaginaire tient également une place prépondérante dans le système du VRAI. En plus de valoriser la sagesse et la connaissance, le VRAI promeut l'imagination et la créativité puisque celles-ci et celles-là s'alimentent mutuellement, et ça ça peut donner lieu aux idées et aux concepts les plus farfelus !

Imagination et créativité

Développer des concepts, jusqu'aux plus farfelus

Imagination et créativité
C'est aussi dans les croyances du VRAI qu'on trouve les plus grands sophismes, c'est-à-dire les propositions qui sont fausses mais qui ont l'air vraies parce qu'elles sont rationnelles. Et il y a le solipsisme, ça c'est la croyance que le monde matériel n'existe pas, et qu'il y a seulement l'esprit percevant qui existe et que cet esprit là il crée l'illusion de ce qu'il perçoit à partir du néant ! C'est comme la MAYA dans le bouddhisme qui est le pouvoir de l'esprit de perpétuer l’illusion de la dualité dans l’univers. Et il y a aussi le fameux « Je pense donc je suis ! », de Descartes, qui pourrait aussi facilement mener au solipsisme. Donc, vous voyez un peu là comment l'idée d'illusion se trouve dans le champ logique du VRAI, puisqu'une illusion c'est finalement juste le contraire du VRAI, c’est le FAUX !
Alors, croire qu'il existe des lois de la nature ou des lois de l'univers, vous voyez que ça mène à deux tendances paradoxales…
D'abord, la raison et bien ça mène au doute : Quand on est rationnel, on a conscience de la subjectivité des interprétations qui mènent aux différentes représentations de l'univers et de l'existence.
Ensuite, lorsqu'une information est reconnue comme fiable, et bien la confiance qu'on lui accorde peut se transformer en rigidité. Le doute et la foi sont d’ailleurs deux facettes antagonistes du VRAI.
Et alors, comme l'échelle de l'information est faite de perceptions abstraites, et bien les croyances du VRAI peuvent être fondées sur l'observation la plus rigoureuse, mais elles peuvent aussi être éloignées de toute considération pragmatique, et c'est d'ailleurs le cas là du solipsisme qui peut mener tout droit à la croyance dans l'inutilité de toute morale. Parce qu'effectivement, si on croit que tout est illusion, alors plus rien n'a de valeur, et on peut assassiner n'importe qui, puisque le monde n'existe pas et n'a pas de sens. Bon, ça c'est un exemple !
7. Convention politique
Alors c'est quoi selon vous les croyances politiques qui sont alignées avec les croyances spirituelles du VRAI ? Logiquement hein, c'est basé sur la rationalité, donc les idées qui sont considérées comme raisonnables à une certaine époque, sur la base des connaissances qui sont reconnues comme fiables. C'est la pensée centrale, celle qui fait plus ou moins là "consensus", celle à laquelle on ramène les dissidents au nom de la raison.
On dit au nom de la raison, mais en fait c'est souvent au nom de la rationalité, pas forcément au nom de la vérité ou de la vertu, hein. Tout système de croyance porte en lui un instinct de perpétuation, une force conservatrice qui le pousse à s'auto-renforcer et à se figer sur ses positions, au détriment de l'esprit critique, qui est une vertu fondatrice du VRAI. Et dans le système de pensée du VRAI et bien cette force là de perpétuation pousse au sophisme, donc à rationaliser les choses, et à les rendre complexes pour les rendre acceptables dans le but de maintenir le Statu Quo. Là encore dans la transcription de l'épisode il y a des liens pour illustrer ce paradoxe là de la rationalité intellectuelle, qui oppose la vérité et le sophisme.
Article en anglais : What Noam Chomsky Thinks Of “Intellectuals” (Current Affairs)
Donc les croyances politiques des gens qui ont la mentalité du VRAI, et bien elles ont tendance à être alignées avec le système de pensée qui est au cœur du paradigme en place, c'est le système de valeurs qui constitue le fondement du paradigme, et donc les tendances politiques du VRAI à notre époque, c'est celles qui sont dites "centristes".
On a vu que le VRAI a tendance à raisonner en terme de lois de l'univers et qu'en conséquence il a aussi tendance à produire des principes pour faire fonctionner la société, parce que le système en place se veut forcément en harmonie avec les lois de l'univers (Hum hum). Et bien vous voyez là le lien entre le centre de discernement du VRAI et le pouvoir politique législatif, c'est le pouvoir qui évalue les données, qui formule les problématiques, c'est celui qui produit les lois, celui qui énonce les droits et dicte les devoirs, celui qui décide en quelque sorte de ce qui est moralement raisonnable et qui lui donne une valeur légale.
L'état politique, le droit, la légalité et toutes les institutions, c'est des entités abstraites, c'est des principes de fonctionnement social qui permettent d'entériner les savoirs en les rendant académiques ou normatifs et d'appliquer la morale en la rendant officielle. Hey !
Dans les sociétés occidentales contemporaines, la pensée fondatrice qui définit le centrisme, c'est le libéralisme, qui est hérité de la philosophie des lumières et de la première révolution industrielle. Les deux sont apparues en lien avec l'avènement de la méthode scientifique moderne.
Le libéralisme politique c'est une pensée humaniste individualiste, c'est-à-dire que l'expérience et la vie de l'individu humain y sont les valeurs sacrées, et donc la question de la liberté individuelle en est un enjeu principal. Le libéralisme économique c'est la liberté de posséder et d'entreprendre et l'état politique est conçu pour garantir la propriété et l'intégrité de l'individu.
Notez ici qu'on différencie souvent le libéralisme économique et le libéralisme politique pour une raison finalement assez simple. Le libéralisme politique reconnaît la personne humaine comme un être sensible et moral, ce qui mène à des principes de liberté empathiques, plutôt portés vers le système du BEAU. Alors que le libéralisme économique considère l'individu comme un agent productif et possédant, ce qui mène à des principes de liberté matérialistes, plutôt ancrés dans le système du BON.
Attention aussi à ne pas confondre "centriste" avec "modéré" ! Les centristes de toutes les époques aussi peuvent être des radicaux ou des extrémistes, par exemple de nos jours l'ultra-libéralisme, et bien c'est une pensée libérale radicale, donc centriste extrême.


Et c'est clair que comme le VRAI valorise le savoir et la rationalité conventionnels, et bien c'est une tendance du VRAI radical de mener à une certaine aristocratie. "Aristo" en grec ça signifie le meilleur. Donc l'aristocratie c'est le pouvoir confié aux meilleurs. Mais qui sont les meilleurs ? Ça, ça dépend des critères. Ça peut être les personnes érudites dans les domaines institutionnels, ça mène à la bureaucratie, ou bien ça peut être ceux qui détiennent la connaissance technologique, ou encore ça peut être les personnalités reconnues pour leur sagesse ou leur sens de la diplomatie.
Tiens ! Une autre tendance liée aux principes du VRAI, et bien c'est de considérer que chacun doit cultiver sa sagesse pour assumer directement sa responsabilité politique. Ça ça peut mener à la croyance qu'il ne devrait pas y avoir d'état politique, parce que l'état finit toujours par avoir des intérêts divergents de l'intérêt général.
La perception des valeurs 1D correspond aux prix dans le domaine économique, et le discernement des circuits et des principes 6D mène à la perception du marché. Le centre du VRAI mène donc à une économie marchande qui aujourd'hui prend la forme libérale que l'on connaît.


8. Tendances régulatrices
La perception du VRAI mène donc à définir des droits et des devoirs moraux, elle mène à la perception du savoir-vivre, celle du respect et plus largement aux questions d'équilibres, d'éthique, de morale et de justice.
Autour de ces enjeux là se posent les questions de régulation et de dérégulation. Par exemple, au sein de l'humanisme libéral qui est la pensée centrale des sociétés modernes occidentales, et bien la liberté individuelle c’est une valeur essentielle, mais aujourd'hui elle est confrontée à la finitude de la planète et aux bouleversements écologiques. La liberté ne peut plus avoir exactement le même sens ni la même portée que par le passé, et elle est remise en question aujourd'hui.
La connaissance plus fine des écosystèmes, les progrès technologiques, et l'industrialisation généralisée placent l'écologie au cœur des enjeux contemporains et plus que jamais se pose la question de réguler ou de déréguler l'activité humaine, d'intervenir ou de ne pas intervenir pour préserver les écosystèmes. On entend parler de justice écologique. Vous voyez là encore une articulation de la connaissance et de la morale, de la justesse et de la justice qui sont perçus par le centre de discernement du VRAI.
Aussi, de façon plus générale, la mentalité du VRAI envisage les relations à autrui à travers la notion de respect. L'imagination permet de se projeter mentalement dans l'autre comme un semblable en tant qu'individu percevant, et ça ça mène à une conscience altruiste de principe. Cet altruisme là, il est motivé au minimum par l'intérêt de susciter un comportement réciproque, mais généralement il est plutôt désintéressé et hautement motivé par la foi dans la valeur morale.
Cette capacité là du mental de se projeter dans un temps imaginaire et de calculer comment les choses pourraient fonctionner.
9. Le VRAI résumé
Voilà, je pense que là on a fait le tour des grandes tendances du centre de discernement du VRAI.
Alors, faisons maintenant un rapide survol du chemin qu'on vient de parcourir. Quand on perçoit à l'échelle de l'information, on discerne des phénomènes quantitatifs de valeurs en une dimension et des phénomènes de fonctions dans six dimensions. En combinant ces deux intelligences de discernement là, on obtient une amplitude de perception à sept dimensions, donc un système de pensée.



Comme ce système de pensée là il est basé sur les mesures, les constats et les concepts qui les expliquent, alors il est lié à la perception de la signification et donc aux enjeux liés à la sphère mentale intellectuelle. Et ça ça mène à la perception de la justesse et de la justice à travers des contraires comme exact et inexact, cohérent et absurde, objectif et subjectif, réel et fictif, vrai et faux, légitime et arbitraire.





Correspondance des phénomènes du VRAI en physique, psychologie, abstraction, langage, politique, spiritualité.

Correspondance des phénomènes du VRAI en physique, psychologie, abstraction, langage, politique, spiritualité.
Donc, les valeurs qui sont perçues à travers le centre de discernement du VRAI c'est des valeurs rationnelles qui mènent à une spiritualité basée sur des lois cosmiques et des raisons fondamentales d'exister, qui produisent et qui font fonctionner l'univers. Cette perception là des règles et de leurs valeurs va de pair avec une mentalité politique censée être raisonnable, parce qu’elle est basée sur les connaissances jugées comme fiables à leur époque, ce qui s'inscrit donc dans une tendance politique conventionnelle ou centriste.
Comme le VRAI pense dans un temps à trois dimensions, sa logique est avant tout fonctionnelle et basée sur la valeur de la signification. Cette rationalité là qui s'appuie sur la connaissance mène à la perception d'enjeux transcendants par leur nature métaphysique, parce que la perception de la valeur de la réalité donne accès à l'interprétation de ce qui est fondamental.
Mais… Si cette capacité d'abstraction là peut mener à une certaine sagesse, elle peut aussi bien glisser vers une pensée stagnante ou déconnectée du réel. C'est d'ailleurs ce qui se produit généralement quand le VRAI ne tient plus compte du BEAU et du BON. Parfois la raison a tort et la réalité la rattrape, parce que l'univers a de multiples facettes qui dépassent ce que l'on sait, ou même ce qu'on peut concevoir.
Et donc la Folle Théorie, c'est une approche assez rationnelle des choses, hein, on va pas se cacher qu'il y a beaucoup de VRAI là dedans ! Mais elle prend en compte la valeur des différents systèmes de croyance et de la façon dont ils sont tous interdépendants. La Folle Théorie là n'a pas la prétention de tout expliquer, mais elle a l'ambition certainement de reconnecter les choses ensemble, et ça c'est son coté BEAU. Et donc ça pourrait être BON pour tout le monde, alors qu'on vit dans une époque où les opinions se cristallisent et où chacun s'arc-boute là sur ses croyances et s'indigne des opinions divergentes des siennes.
Alors voilà ! J'ai fini de vous présenter dans les grandes lignes les centres de discernement du BON, du BEAU et du VRAI, ou bien les centres de l'instinct, de l'émotionnel et du mental, ou encore de la matière, des vibrations et de l'information. Tout ça, et bien ça dépend finalement depuis quel centre de perception vous observez les autres.
Maintenant que vous connaissez les trois systèmes de pensée élémentaires, vous allez pouvoir prendre du recul sur vos perceptions et vos croyances et aussi j'espère mieux comprendre celles des autres. Voyez vous maintenant là comment les phénomènes de la perception sont liés à notre façon de penser et à nos croyances ? À quel centre est-ce que vous vous identifiez le plus ? Le BON, le BEAU ou le VRAI ? Peut-être un mélange d'un peu des autres ? Ça aussi c'est fortement possible, on va en parler un peu plus tard. Est-ce que vous comprenez mieux là les façons de penser différentes des vôtres et comment elles fonctionnent selon des logiques aussi valables que la vôtre ?
Dans les prochains épisodes, et bien on va être moins dans l'analyse sémantique avec son coté très "nerdy", et on va être plus dans l'humain, parce qu'on va parler des polarités perceptives, vous savez le féminin, le masculin, toutes ces choses là qui font débat aujourd'hui, dans l'opposition entre la nature et la culture. Et puis après ça on va décrire des types de personnes, alors on va venir créer des boîtes pour le fun et on va voir si vous rentrez dedans ou pas. Et puis comme ça va être plus humain, et bien peut-être même que vous allez voir ma face en vidéo !
Alors à bientôt dans le prochain épisode de la Folle Théorie !